Pour éclairer notre propos, évoquons parmi d'innombrables exemples possibles, un qui nous est familier: l'huile végétale.
A quantité égale, une huile végétale n'a pas les mêmes qualités si elle est extraite à chaud ou en première pression à froid.
La première contient en majorité des acides gras saturés qui augmenteront le taux de ce qu'il est convenu d'appeler le « mauvais cholestérol ». Dans le cas d'une huile extraite à froid, il y aura un apport d'acides gras insaturés qui fera croître le taux de « bon cholestérol » !
Dans cet exemple, la norme qualitative est caractérisée par le type d'acides gras (saturés ou insaturés) dont tout le monde connaît les conséquences en matière de santé.
Quantitativement, les mesures de densité d'ondes et des champs électromagnétiques émis ont strictement les mêmes valeurs.
Et pourtant l'un nuit, l'autre pas !
La qualité des champs émis ne sont pas de même nature.
Dans cet exemple la norme qualitative est caractérisée par la nature du champ magnétique.
L'un est artificiel et non compatible avec le vivant, l'autre « corrigé » par BPS est bio compatible, compatible avec le vivant donc n'altère pas la vie.
Parce que nous sommes dans un monde de consommation à large prédominance quantitative, la notion qualitative ne retient que peu l'attention en général et moins encore dans le domaine de l'informatique et de la communication.
Et les méthodes d'évaluation qualitative sont plutôt rarement utilisées en France... alors qu'elles le sont beaucoup plus dans la plupart des autres pays européens.
Avec le test de résistance musculaire, la cristallographie sensible et l'auriculomédecine sont les trois méthodes qualitatives d'évaluation choisies pour valider la bio compatibilité des appareils (téléphone portable ou sans fil-ordinateur fixe ou portable-télévision-véhicule) lorsqu'il sont équipés de BPS.
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